Sun Tzu

 

Dans la période troublée des Printemps et Automnes, en Chine, le royaume de Wu était opposé à celui de Chu, bien plus puissant.
Face au roi Shao, Sun Tzu, stratège du Wu mène une guerre d’usure. Puis, en 506 av JC., il provoque ouvertement l’armée de Chu. Aux premières escarmouches il simule la retraite et incite les troupes adverses à le poursuivre en ordre dispersés.
Les troupes de Chu, désormais divisées et surprises, sont écrasés les unes après les autres. Sun Tzu rentre dans légende.

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SUN TZU est un jeu de Alan M. Newman publié en 2005 sous le nom de Dynasties traduit et publié en Français par l'éditeur Matagot en 2010 puis republié en 2014 dans une version plus "luxueuse".

Sun Tzu est un jeu de programmation simple à base de cartes dans lequel vous devez choisir secrètement les troupes à envoyer sur les différentes provinces du jeu. Il faut donc tenter de deviner ce que votre adversaire va jouer en fonction de la situation. 

Sun Tsu est le nom de l’auteur d’un des premiers traités sur la tactique militaire : L’Art de la Guerre, écrit au Vème siècle avant JC et étant encore une référence pour les conseils stratégiques qu’il donne. Le jeu vous invite donc à participer aux batailles antiques chinoises opposant les provinces de Wu et de Chu lors de la période dite « des Printemps et des Automnes » (722 av. J.-C. et 481 av. J.-C). 

Avec son principe simple, ses parties courtes et sa grande richesse tactique, Sun Tzu est un excellent jeu pour 2 joueurs appréciant le « double guessing » (je pense que tu penses ça, mais comme je sais que tu sais que je sais…), la gestion de cartes et la tactique. 

Original et parfaitement thématisé avec de belles illustrations (pas forcément historiques).


Vous pouvez lire un article de 2014 présentant ce jeu sur le site de Sun Tzu France.

Le jeu se déroule en 9 tours (dynasties) avec un décompte lors des 3ème, 6ème et 9ème dynasties.

Chaque province occupée par les armées d'un joueur rapporte alors un nombre de points de victoire variable et tiré au sort au début de la partie.

À chaque tour, chacun joue une carte face cachée devant chacune des cinq provinces.

Lorsque ces cartes sont révélées, celui ayant joué la carte la plus élevée dans chaque région y place autant d'armées que la différence entre la valeur de sa carte et celle de son adversaire ou en retire des armées adverses si l'adversaire contrôlait jusque là la région.

Les joueurs possèdent tous les 2 le même paquet de cartes : 6 cartes numérotées de 1 à 6 (récupérées à la fin du tour) et des cartes spéciales (obtenues avec parcimonie et défaussées une fois jouées).

Ces dernières peuvent avoir une force supérieure (7, 8, 9 et 10), une valeur de +3, +1 ou -1 par rapport à celle jouée par l'adversaire ou déclencher une peste, par exemple, qui décimera la moitié des armées présentes dans la région...

Les cartes "1" et "6", si elles sont reprises en main ont elles aussi un pouvoir lors de leur résolution.

Plusieurs variantes (ou niveaux de jeu) existent : un pouvoir spécial différent pour chaque joueur, des armées moins nombreuses mais avec la possibilité d'en lever d'autres en se défaussant de cartes spéciales, des cartes spéciales +2 et +3 qui font gagner la bataille mais perdre des armées, ...

Des citations de "l'art de la guerre" sont inscrites sur les cartes, ce qui donne un beau vernis au jeu.




À la Compagnie Franche des Trois Marchands, nous jouons à Sun Tzu avec la version "Luxe" de 2014 (grande carte). 

Nous avons cependant remplacé les figurines plastiques, par des figurines Essex Miniatures de 15mm en alliage de plomb et étain, peintes uniformément en "bleu métallique" ou en "cuivre rouge" selon le camp choisi.

Les figurines sont soclées sur des pièces de un centime d'euro.

Phase de programmation

Phase de dévoilement et de résolution.

À trois joueurs, le tournoi est organisé comme un aller-retour entre chaque joueurs
(donc 6 parties au total ou 9 si chacun remporte une partie). 



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Avec cette fin de printemps un peu chaud, nous avons retrouvé nos "bonnes habitudes d'hydratation".

Canada Dry n'a qu'à bien se tenir! c'est le grand retour de l'Alaska Dry à la Compagnie Franche...

Pour votre information, Canada Dry est une ginger ale sans alcool et non une ginger beer.
Ce n'est pas le cas d'Alaska Dry qui est un premix (maison).

"Alaska Dry, c'est doré comme l'alcool, ça le goût de l'alcool et c'est normal, car il y a de l'alcool !"
😉


Alaska Dry c'est simple: du jus de gingembre, quelques gouttes de citron, du Cognac de contrebande et de l'eau pétillante. 
C'est tout ... et c'est bon !

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